Catégorie : Sortie

  • Boucle à Crécy la chapelle (20 km)

    Boucle à Crécy la chapelle (20 km)

    Une bien jolie boucle entre champs, rivières et forêt. Accès RER en un peu plus d’une heure.

  • Sortie Ailefroide – Go6 & 11C+ – Couennes, Grandes Voies  & randonnée

    Sortie Ailefroide – Go6 & 11C+ – Couennes, Grandes Voies & randonnée

    Accessible en train de nuit depuis la gare d’Austerlitz à Paris via la gare d’Argentière-Les-Ecrins, le site mythique d’Ailefroide est le second spot d’alpinisme le plus fréquenté en France après Chamonix Mont-Blanc.

    Au cœur d’une vallée paisible et verdoyante au milieu des montagnes, il s’agit également d’un camp de base idéal pour randonner et escalader.

    Le camping d’Ailefroide peut accueillir jusqu’à 2000 grimpeurs au milieu de l’été. Pour cause, plus d’une centaine de Grandes Voies (GV) et une dizaine de secteurs de couennes et de blocs sont accessibles à pied : il faut compter selon les secteurs entre 15 et 45 minutes d’approche sur sentiers depuis le camping ! Fini les voitures, place au bol d’air frais pendant 6 jours !

    Prérequis : Avoir vu la manip de haut de voie en salle si tu veux faire de la couenne, et celles de GV et de rappel si ça te botte d’essayer (si vous ne l’avez pas encore fait, on a le temps d’ici mi-juin. Niveau minimum conseillé : 5a en tête pour la couenne)

    Pour qui : L’idée est de faire découvrir cet endroit incroyable à ceux qui n’ont pas encore eu la chance de le voir. Néanmoins, il nous faut aussi un nombre suffisant de personnes autonomes en GV capables d’emmener des débutants. 10 à 12 personnes dont 4 encadrants GV serait chouette. Plus si présence de plus d’encadrants. On souhaite également respecter la parité.

    Quand : du mardi 10 juin au soir (départ de Gare d’Austerlitz à 20h57), au mardi 17 juin 2024 au matin (Arrivée à Gare d’Austerlitz à 7h54).

    Comment on y va? En train de nuit de Paris à l’Argentière les Ecrins, puis en taxi de la gare vers le camping d’Ailefroide.

    On loge où? Dans le camping d’Ailefroide (attention, il peut faire des températures proches de 0°C la nuit). Chaque personne est indépendante, on peut partager les réchauds, les tentes, se prêter des duvets… Ramène donc ton matelas et ton peignoir si tu le souhaites (pas de panique, on a déjà une liste toute prête pour faire son sac). Il y a un petit magasin sur place pour compléter ses courses.

    Ça coûte combien ? Compter 80€ de train de nuit (prix du billet pas encore disponible : bonnes surprises possibles telles que les 40€ A/R en 2024 aux mêmes dates), 20€ de taxi aller/retour et 7,5€/nuit/personne de camping. Soit 100€ à140€ estimés auxquels il faudra ajouter sa nourriture perso. Des arrhes seront demandées pour confirmer l’inscription, qui correspondront au montant du billet de train.

    A noter :

    • Toutes les sorties sont co-organisées avec les participants. En faisant partie de la sortie, tu t’engages à aider dans l’organisation
      et prendre certaines responsabilités.
    • Le coût de la sortie ne doit pas être un frein pour la participation. Il est possible de faire une demande d’aide financière par
      procuration, en écrivant à un.e des orga ou à un.e référent.e sortie, qui fera suivre la demande anonymement.

    Orga : Guillaume et Marian

  • Sortie italienne à Finale Ligure

    Sortie italienne à Finale Ligure

    Cette sortie à Finale, c’était déjà, avant même de partir, celle de tous les superlatifs. 

    Sur la brochure, un programme incroyable: la promesse de 10 jours de grimpe et de détente sur la Côte d’Azur italienne, dans l’un des spots d’escalade les plus connu du pays. 

    Hors-norme, la sortie l’a été dès l’organisation, complexe et riche en rebondissements, mais menée à bouts de bras par Thibault et Soca, assistés de Polo et Marian. 

    Tout commence le mercredi 30 mai au soir, sur le parvis de la gare d’Austerlitz. 

    Pour rejoindre Finale, le plan était de prendre un train de nuit couchette pour rejoindre Nice, puis de récupérer les voitures et de rouler 1h30 pour rejoindre notre camping à Finale Ligure. 

    Par grappe ou en solo, un dizaine de onzecépluzien.nes et de lémurien.nes arrivent, chargés d’affaires de grimpe et de camping.

    On fait les présentations, on parle déjà de projets de grimpe, de baignade et de gelato, bref on est CHAUDS. 

    Ca tombe bien, l’heure du train approche, enfin… avec l’annonce de 50 minutes de retard, au moins, pas d’excuse pour le rater ! Thibault distribue les billets. Chacun lit sa place. Soudain, silence général. « Y a écrit Club Quatre sur mon billet, c’est normal pour une place couchette? » demande Juliette avec une légère inquiétude dans la voix. 

    Un ange passe. 

    « Merde » lâche finalement Thibault.

    Le chemin qui nous mènera à Finale commença donc par 12h de trajet de nuit en place assises. A chacun sa méthode pour tenter de trouver un peu le sommeil: alternance de places côte à côte par roulements de 2 ou 3h (Polo et Marian), sac de couchage sur le visage pour « faire du noir » (Emilie), épanchement sur la tablette du carré famille pour varier la position (Coline). 

    Dans la pénombre, même la moquette de sol d’un vieux train parait accueillante. En désespoir, certains choisissent donc de s’allonger le long des sièges, dans le couloir (Juliette, Marian, Thibault), bravant le risque d’écrasement d’un membre par la semelle d’un inconnu titubant de sommeil et en quête des toilettes. 

    **

    9h du matin, le 1er mai. Un des loueurs de voitures annonce que sa voiture ne sera pas disponible, pas d’autres loc à l’horizon… nouveau plan de bataille : 2 personnes prendront un blablacar, c’est géré avec brio. Avec 2h de retard, les voyageurs de nuit arrivent en gare de Nice, où les attendent Guigui et Daniel. Récupération des voitures, calage de bagages dans les habitacles, puis direction Finale, notre destination finale. (A postériori, ce nom aurait dû nous mettre la punaise puce à l’oreille)

    Le camping de Monte Cucco se trouve à l’intérieur des terres, à quelques minutes des falaises du même nom, et à 15 minutes du centre-ville de Finale.

    Il s’étend sur 3 « terrasses » dont le sol est en gravillon. Première impression: minimaliste.

    Les premiers arrivés avertissent les seconds. Polo: « les gars, notre espace dédié n’est pas très grand. Il est possible que certain.e.s doivent partager une tente. Qui serait volontaire? » 

    « Jamais de la vie! » s’exclame Coline. « ouais bof », enchaîne Juliette. « euh non », ajoute Emilie. 

    Façon Tetris, on fini par planter nos toiles de tentes côte à côte, illusion d’intimité dans une promiscuité où l’on entend son voisin tousser à 5 tentes de là.

    Dîner, extinction des feux, demain on part à l’assaut des falaises! 

    **

    A peine arrivés devant les premières couennes du coin, ça couine déjà: « c’est patiné, et y’a que du dur » 

    Coline, Jef, Daniel et Emilie vont voir ailleurs pour s’échauffer, Coline se lance courageusement la première, en tête, dans une voie sans côte. Ressenti: 5b.

    Guigui lui, ne voit pas la patine mais seulement la ligne de 6a+ qui lui fait de l’oeil. « Ca a l’air affreux » dit quelqu’un. « Ca me tente trop » , répond Guigui. 

    Pendant ce temps là à Veracruz, Polo, Marian, Juliette, Ismaël, Thibault, Mo et Nathanaël explorent le secteur du Canyon. Et là aussi, ça râle. Polo: « ya que des pas de bloc dans ces voies! C’est dégueulasse ». 

    « C’est décidé, je ne grimperai plus de voies de moins de 20 mètres ». 

    Polo vient finalement à bout d’un 6b+ compact et intense. Nathanaël pose héroïquement une moul’ sur une « 6b+ ressenti 7a » où s’échineront Guigui, Polo, Thibault et Emilie. 

    Après la grimpe, certain.e.s partent faire leur première baignade dans la mer. 

    **

    Le ciel est bleu, c’est le jour idéal pour faire des grandes voies! 

    Après un rapide feuilletage du topo direction la falaise de Bric Pianarella pour l’ascension de L’autunno dei mohican. Marian, Coline et Polo partent pour leur traditionnelle flêche, avec Polo en lead (un des grimpeurs de 7 de la bande), et les deux ramasse-dégaines derrière lui. Jeff et Nathanaël les suivent, pour la première grande voie de Nathanaël, avec une flêche au dessus, c’est facile de checker les relais et les manips. Tout s’annonce bien, ils trouvent la voie assez facilement, la grimpe s’annonce en 5c+ max, tranquille ballade… Jusqu’à ce qu’ils se perdent ! Toujours suivi par la seconde cordée, qui décide de les suivre malgré le manque de points et de relais apparent, mais bon… C’est du facile ! ils se rendent vite compte de leur erreur, lors de la 3e longueur qui s’apparente clairement à de 6a bien costaud, puis celle d’après, où Polo avance en attrapant une dégaine pour en poser une autre, là ça serre les fesses ! Coline et Marian re-vérifient le topo, à coté de la 5b il y a… une 7a ! Oh oh… Mais arrivé en haut après avoir tout artifé, et laissé les dégaines pour la cordée d’après, Polo annoncera en détente que « Non non c’était bien du 5B, mais j’aime pas le dièdre ! ». À partir de ce jour, l’expression « c’est du 5b dièdre » va égayer tout le séjour !

    Les autres découvrent un beau spot de couenne à 10 min de voiture du camping: Avancorpo di Boragni: 5 min d’approche peu escarpée, des couennes de 30 à 35m sur un rocher neuf, et à l’ombre l’après-midi. 

    Forcément, on n’est pas seuls. 

    On se faufile entre les familles d’italiens et leurs nurseries improvisées au pied des voies. Daniel, Ismaël, Mo et Guigui se chauffent sur des 5. Thibault, Juliette et Emilie prennent confiance dans du 6. C’est beau, on se sent bien. Tellement, que Thibault décide de se « challenger » dans une 6b+ au moment où tout le monde commence à remballer. 

    « Elle est un peu montagne, cette voie, non? » dit-il à l’endroit de Guigui qui l’assure, avant de disparaître dans les branchages qui parsèment la voie. 

    « Fait gaffe, part pas dans les ronces Thib! ». 

    Thibault finira par conquérir la voie au prix de courageux efforts, et de quelques griffures de ronces. 

    Retour au camping. C’est l’anniversaire de Marian et Guigui! Par pudeur on ne donnera pas leur âge, juste qu’en les additionnant, ça fait 73. Et ça méritait bien du Prosecco, des mugs et des cookies géants.  

    ***

    C’est dimanche, les prévs météo annoncent de la pluie l’aprèm, du coup alors les couennards d’hier se sont levés tôt pour partir en grande voie. 

    Mo et Ismaël partent sur *** 

    Guigui, Juliette, Thibault et Emilie visent une ligne au nom impossible: « L’impari lotta del conte di montesordo e del drago sanguineo », 150m en 6a, sur Bric Pianarella. 

    « C’est la première voie de la falaise, elle devrait être assez facile à trouver », avait dit l’un deux la veille. 

    9h: Guigui: « vous êtes sûr que c’est pas par là? » Emilie « ça manque de trace d’humains par ici ». Juliette « ça serait pas un chemin ça ? »

    10h « Mais qui a eu l’idée de dessiner la falaise sur le topo, au lieu mettre une photo?  »  Guigui: « jsuis sûr c’est un pote du gars du topo qui a voulu se faire un délire artistique »

    11h: Emilie: « on a trouvé une grotte archéologique ! » 

    Juliette: « et la voie? » 

    Emilie: « pas encore »

    12h: Thibault: « vnez voir j’ai trouvé un truc ». Enfin arrivés au pied de la voie, on sent des premières gouttes de pluie. Hésitation, incertitude, indécision. Juliette rompt la réflexion: « hé les gars, on n’irait pas se manger un gelato en ville au bord de la mer? » 

    (Cet argument sera souvent utilisé par Juliette lors du séjour, et il mettra toujours fin aux débats)

    12h40: des trombes d’eau s’abattent sur Finale.

    En ville, la tranquille déambulation post-gelato est interrompue par la réception d’une photo qui glace le sang de tout parisien: Nathanaël a trouvé une punaise de lit sur l’une des chaises de camping.  

    Thibault, en vétéran de la guerre des punaises, énonce le plan de bataille: « les gars quand vous rentrez chez vous, vous vous déshabillez et vous scellez immédiatement toutes vos affaires de voyage à l’intérieur! On ira acheter des sacs de 130L pour tout le monde »

    Au dîner, son rougail relevé affole les papilles, et la mousse au chocolat fouettée à la main par Polo, Marian et Coline, vient mettre tout le monde d’accord.

    Après le dessert, réunion de crise: les prévs météo annoncent un temps pourri pour les 6 prochains jours à Finale. On vote: on bouge? Oui. Mais où? En bout de table, Polo, Guigui, Ismaël et Emilie se mettent à la recherche d’un spot où les cieux seraient plus cléments. Marseille? Toulon? Ca sera finalement les gorges du Blavet, dans le massif de l’Esterel, au Nord de Fréjus. Un spot que personne ne connait, mais qui a une bonne réputation. Reste à trouver un camping. 

    **

    8h50: le seul camping 1 étoile du Nord de Fréjus nous confirme qu’ils ont de la place. On décide de lever le camp, mais pas avant d’avoir au moins goûté une pizza locale! Soca, partie de Chamonix le matin même, nous rejoint au camping, et on se met en route.

    2h30 de route plus tard, on arrive au camping des Clos, à Bagnols-en-Forêt. Première impression: c’est vert et c’est grand! 

    Le camping est arboré, avec du sol herbeux où planter sa tente, et beaucoup de place. On s’installe avec le matos de camping deluxe rapporté par Soca, qui semble bien connaître les secteurs pour y avoir fait deux sorties ! Quelle joie de découvrir l’Italie ! C’est aussi là que Daniel nous abandonne, après avoir fait le détour pour nous éviter des galères de transports supplémentaires, parce que « c’est pas l’Italie ici « , heureusement il nous laissera sa corde et du matos de cuisine, ça fera une occasion de se revoir !

    Un second séjour commence! 

    **

    Le camping est idéalement situé, à 10 min en voiture des Gorges. On se gare à P1 parce que le topo le conseillait, mais au final c’est plus loin que de se garer à P2, au-dessus des voies, avec une descente via une échelle ou des marches taillées dans la roche. 

    On attaque le spot par le secteur des Gaulois: des couennes du 4 au 8, de 10 à 30 mètres, dont beaucoup ont un point commun: un crux en pas de bloc en tout début de voie. 

    En moulinette, Ismaël tente un 6a aux premiers pas délicats. Il glisse, chute, et heurte de son fessier le dossier d’une chaise posée trop près du bas des voies, pliant le tube et déchirant pantalon et caleçon sur une dizaine de centimètres. Au final, plus de peur que de mal. 

    A côté, Soca, Mo et Juliette enchaînent une 6b+ en tête, Thibault vient à bout d’une autre 6b+ de près de 40 mètres, Emilie tire aux clous pour passer le deuxième crux athlétique de Bidule Story, tandis que ….? (un mot sur les autres)

    **

    Deuxième jour dans l’Estérel, direction Saint-Raphaël et le secteur du Dramont. Avec sa roche rouge et sa vue incroyable sur la mer, c’est LE spot pour faire le shooting photo de la sortie. 

    Côté grimpe, de belles couennes d’une vingtaines de mètres, dans le 5 et le 6.

    En voies majeures, le Pilier du Soleil en 5c, gazeuse à souhait. 

    Les gouttes de pluie nous chassent du secteur, on doit plier tôt. Juliette lance: « hé les gars, ça vous dit d’aller manger un gelato au port? »

    Guigui prend le volant du Quashqai, appuie sur le bouton de démarrage et… rien. Le SUV refuse de démarrer. On soupçonne la télécommande, puis l’anti-démarrage de GetAround, puis la batterie…on relie le SUV à la Clio avec des câbles pour tenter de la recharger. 45 minutes plus tard, sur la dernière tentative, il repart enfin. 

    Le soir, Mo et Ismaël filent voir le match …. Au bar du village. 

    **

    (J8 – Jeudi 8 mai)

    C’est le jour de la revanche pour Thib, Guigui, Juliette et Emilie. Pour l’occasion, Thibault vient en mode « Thib’o gosse » (c Guigui), en chemisette Tommy Hilfiger pour affronter les « Caprices du colon ». La grande voie de 4 longueurs est annoncée en 6a+ max. 

    Guigui se lance le premier dans la première longueur. Il souffle, il hésite… on voit rarement Guigui dans le mal. L’inquiétude monte. 

    Soudain, il… tire au clou. « Merde »

    La première longueur, patinée, continue et athlétique, est clairement le crux de la voie. Tous finissent par passer, avec un consensus sur le ressenti: 6b+.

    Arrivés en haut, Juliette lance: « hé les gars, ça vous dit d’aller manger une glace? » 

    Direction Roquebrune/Agens, et la « Confiture de Lait », une petite pâtisserie/chocolaterie où la victoire sur les Caprices du colons est célébrée à coup de Paris-Brest, d’éclairs au chocolat et de glace à la pistache. 

    Pendant ce temps-là, la reste de la troupe fait de la couenne à 1h de route de là sur le spot ***

    (Un mot des gens qui y étaient)

    **

    C’est le dernier jour de grimpe « complet », et les 3/4 des gens partent en grande voie. 

    Marian et Polo refont avec succès les Caprices, tandis que Thib, Guigui et Coline se mettent une déter dans FukuChina (6b), l’une des grandes voies les plus récentes des gorges. 

    Pas très loin, Soca, Mo, Jef et Ismaël enchaînent Pépin de Bref (5c). 

    Tout le monde se retrouve en haut des gorges pour déjeuner, puis Juliette lance: « hé les gars, ça vous dit d’aller manger une glace? »

    **

    Samedi 10 mai. C’est le jour du départ. Les lève-tôt décident de profiter une dernière fois des voies des gorges, tandis que d’autres plient bagage au camping. Les retours se font en ordre dispersé, certains.es choisissant d’autres itinéraires pour s’éviter les 12h en place assise pour rejoindre Paris, d’autres se résolvant à acheter un nouveau billet en couchette pour ménager leur dos et/ou leur fatigue, et les plus courageux conserveront leurs places assises, parce qu’on est pas en sucre quand même !

    Epilogue: les lecteur.trices attentifs auront remarqué l’absence de clôture sur le sujet des punaises de lit. Quid des punaises donc? Il seront 6 à choisir l’option « congélation » supervisée par Guigui, qui consistait à apporter les affaires scellées dans des sacs poubelles à Romainville. L’entreprise Freezit propose d’éradiquer les potentiels insectes via une congélation à -30°c pendant 7 jours. Deux semaines plus tard, aucune contamination n’a été observé chez les participants à cette sortie. 

    PS : Tous les « du coup » « en fait » « team » et autres mots qui parsèment notre parlé, ont été supprimés de ce texte pour faire plaisir à Daniel, parce que, du coup, on a pas du tout réussi à le faire à l’oral, en fait 🙂

  • Sortie apprenante grande voie à Buis les Baronnies

    Sortie apprenante grande voie à Buis les Baronnies

    Oui c’est déjà l’heure de s’inscrire à la sortie grande voie apprenante, celle où tu peux venir même si tu n’es jamais allé en falaise ! Celle où, si tu maîtrises parfaitement les manips, tu peux venir kiffer le calcaire et la vue sur le mont Ventoux ! C’est aussi une super occasion pour découvrir en rando le massif et de se retrouver le soir pour se raconter nos aventures de la journée.

    Pour le week-end de Pâques, direction Buis les Baronnies ! 

    Un terrain de jeu riche et varié : de la couenne du 3a au 8a, des petites grandes voies de 2, 3, 4 longueurs, des gorges et des cols à randonner, il y en aura pour tous les goûts 🙂 
    Le tout majoritairement orienté plein sud pour profiter du soleil.

    On fera une réunion d’orga car on fonctionne en autogestion et tout le monde aura l’occasion d’aider à préparer la sortie. On organisera aussi une session de formation manip en amont de la sortie (et il y aura des sorties couennes organisées un peu plus spontanément en fonction de la météo, on pourra commencer à se préparer ^^)

    On préparera une petite liste du matos essentiel camping et/ou escalade, et si besoin on s’organisera pour se prêter du matos entre nous.Inscriptions jusqu’au 30 avril pour valider les options des trains

    INFOS PRATIQUES : 

    • Dates : du 18 avril au soir jusqu’au 21 avril au soir
    • Transport : 15 ou 20 billets de train posés en option jusqu’à Avignon, où on louera des voitures.
    • Dodo : Dans un des camping de Buis les baronnies, sans doute celui du Moulin de Cost, la résa reste à faire. (joli camping sauvage avec petit bar et piscine sur place!)
    • Miam : On prévoit les ptit dej et pique nique collectivement, Il y aura deux repas du soir cuisinés à prévoir, et à organiser car on a pas encore de matos de cuisine collectif
    • Coût : Sortie à prix libre, pour s’extraire du fonctionnement capitaliste et permettre la solidarité entre nous. Le prix de revient estimatif est d’environ 300€, chacun·e met ce qu’il peut/veut de façon anonyme en espèce sur place.
  • Randonnée d’hiver à Crouy sur Ourcq

    Randonnée d’hiver à Crouy sur Ourcq

    Mais que c’était beau cette randonnée par un froid polaire et dans le brouillard !

    Randonnée à Crouy sur Ourcq

    Mais bon, les photos parlent d’elles-mêmes …

    Les recettes qui ont marqué ? Pour la soupe pois chiches/betterave chaude et nourrissante, c’est par ici.

  • CR réunion randonnée du 8 Janvier 2025

    10 personnes réunies

    Pour aller vite, le calendrier du premier semestre

    • dim 19 janvier Crouy-Sur-Ourcq et le village perché de Vaux-sous-Coulombs !
      Boucle de 18km D+187m 4h30 estimé au départ de la gare de Crouy alternant champs, bois et marais.
      Prévoir chaussures étanches, eau et pique nique à partager
    • dim 26 janvier matin, sortie à la journée sur le GR 75, avec les enfants, à faire quand les squares sont ouverts, sinon pas cool. Déjeuner ensemble, puis se séparer après.
    • 22-23 février -> lacs de la forêt d’Orient
    • 15-16 mars sortie à la journée
    • Mercredi 9 avril à la MVAC, planification des sorties second semestre et été.
    • 5-6 ou 12-13 avril sortie morvan (Avallon -> Vezelay -> Avallon)

    ET PUIS, DANS LE DÉTAIL …

    Bilan des sorties du dernier trimestre

    Bilan sur l’organisation de septembre à décembre c’était plutôt bien : dates choisies à l’avance pour préparer les sorties + sorties informelles (au dernier moment), avec préparation potentiellement moins importante.

    Premier atelier de lecture de carte à Fontainebleau/cartographie, mais avoir en tête que ça prend beaucoup de temps durant la randonnée, on marche plus lentement.

    Retour positif sur la nourriture collective durant les sorties, à continuer.

    ATTENTION : merci de prévenir si on ne vient pas quand réservation de gite pour ne pas augmenter frais de la sortie.

    Sur l’organisation de la section Randonnée

    • Constituer des archives des randos qu’on fait (parcours, avis/retours, etc.) ?
      Mettre sur le site les sorties qu’on a fait. On archive quel gpx, celui qu’on prévoit de faire ou celui qu’on a fait ?
    • Archiver les recettes rando sur le site, pour que ce soit accessible pour tout le monde.
    • Créer des accès au site en éditeur uniquement pour que les personnes puis ajouter des articles sans venir casser des trucs sur le site. => demander au collectif admin

    Plein de propositions, voir ci-dessus celles retenues pour l’instant

    • Deux jours (ou plus) dans le Morvan ?
      En lien avec la FSGT de la Nièvre, ils ont proposé deux parcours (doc sur le cloud) avec traces et gites sur le chemin. Si on leur donne nos dates, ils essaient de nous retrouver et de marcher avec nous. Soit 8 jours (traversées du Morvan, pas obligé de tout faire), soit un week-end seulement, dans le nord du Morvan.Fin mars ?
    • La côte d’Opale : Calais-Boulogne-sur-mer
      (Voir fiche recto-verso https://www.lesothers.com/fiches-topo/R.HDF001_recto-verso.gpx)
      Point d’attention : 10 premiers km, zone où il y a toustes les exilé.es qui tentent de passer en Angleterre, tout le monde pas à l’aise avec ça.
      50km
    • Lacs de la forêt d’orient
    • Petite rando du dimanche -> janvier/février parce qu’il fait froid et pour les personnes dispo que sur un jour
    • Presqu’ile du Cotentin
    • Fontainebleau
    • GR1
    • Helloways : site pour trouver des randos
    • Versailles / Marly le roi
    • Auvers-sur-Oise / L’Isles-Adam
    • Avec des enfants, le GR75 -> intéressant parce que temps de recherche du trajet, aspect éducatif
  • De Fontainebleau Avon à Nemours (45km)

    De Fontainebleau Avon à Nemours (45km)

    Très belle randonnée de deux jours en forêt de Fontainebleau. On recommande particulièrement le refuge du Bolet de Satan (à Recloses) géré par une association bénévole de randonnée du 20ème arrondissement de Paris.

    Le second jour peut être un peu plus long, et beau, en passant par Larchant plutôt que de couper au plus vite.

  • Forêt de montmorency (20km)

    Forêt de montmorency (20km)

    Éviter le GR1 qui fait un tracé parfois trop rectiligne et on découvre les charmes de cette belle forêt.

  • Des randos de folie

    • Boucle à Crécy la chapelle (20 km)

      Une bien jolie boucle entre champs, rivières et forêt. Accès RER en un peu plus d’une heure.

    • Weekend Morvandieu (45km)

      Grâce à une proposition originale de la FSGT Rando Nièvre, un weekend original dans le Morvan, avec une boucle de deux jours entre Avallon et Vézelay. A faire absolument au printemps : plein d’ail des ours au retour, le long du cousin. Miam le pesto !

    • Sortie Ailefroide – Go6 & 11C+ – Couennes, Grandes Voies & randonnée

      Un grimpeur en second dans une belle valllée entourée de montagnes

      Accessible en train de nuit depuis la gare d’Austerlitz à Paris via la gare d’Argentière-Les-Ecrins, le site mythique d’Ailefroide est le second spot d’alpinisme le plus fréquenté en France après Chamonix Mont-Blanc. Au cœur d’une vallée paisible et verdoyante au milieu des montagnes, il s’agit également d’un camp de base idéal pour randonner et escalader.…

    • Randonnée d’hiver à Crouy sur Ourcq

      Mais que c’était beau cette randonnée par un froid polaire et dans le brouillard ! Mais bon, les photos parlent d’elles-mêmes … Les recettes qui ont marqué ? Pour la soupe pois chiches/betterave chaude et nourrissante, c’est par ici.

    • Randonnée dans le Vexin ; bords de Seine (50km)

      Mantes-la-jolie - Vernon

      La dernière randonnée de l’année 2024 pour 11C+, dans une bonne ambiance hivernale. Si on ne s’était pas complètement oublié.es le premier jour on aurait fait 8 km de moins et on aurait été moins fatigués et on ne serait pas arrivés la nuit. Sinon, cela vaut le coup de repenser l’itinéraire pour mieux voir…

    • De Fontainebleau Avon à Nemours (45km)

      Très belle randonnée de deux jours en forêt de Fontainebleau. On recommande particulièrement le refuge du Bolet de Satan (à Recloses) géré par une association bénévole de randonnée du 20ème arrondissement de Paris. Le second jour peut être un peu plus long, et beau, en passant par Larchant plutôt que de couper au plus vite.

    • Forêt de montmorency (20km)

      Éviter le GR1 qui fait un tracé parfois trop rectiligne et on découvre les charmes de cette belle forêt.

    • Forêt de Carnelle (21km)

      Très jolie randonnée majoritairement en forêt. Parcours modifié à partir d’une idée trouvée sur IGN Rando. En images c’est mieux :

  • Forêt de Carnelle (21km)

    Forêt de Carnelle (21km)

    Très jolie randonnée majoritairement en forêt. Parcours modifié à partir d’une idée trouvée sur IGN Rando.

    En images c’est mieux :